En juillet 2018, une vidéo montrant des soldats exécutant sommairement deux femmes, les yeux bandés, ainsi qu’une fillette et un bébé que l’une d’elles portait sur le dos, dans l’extrême-nord du Cameroun, avait été diffusée sur les réseaux sociaux. Le gouvernement avait nié l’implication de son armée dans un premier temps, avant de faire arrêter sept suspects. Deux ont été acquittés et un autre condamné à deux ans de prison
